La forte multiplication des « résidences fermées sécurisées » dans les villes européennes et françaises, après celles d’Amérique latine, des USA, d’Afrique du sud etc. a plusieurs facteurs sociaux, économiques, politiques… la tendance est souvent attribuée aux inquiétudes des habitants pour leur sûreté, ou à leur qualité de vie (incluant l’accès à la « qualité » environnementale », aux espaces de nature…) thèmes récurrents dans les médias et discours politiques. (Suite)